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Les bateaux modernes n'ont plus de figure de proue, mais le nôtre avait au moins cette statue sur le pont arrière.




La télé de cabine propose pas mal de chaînes internationales et plusieurs chaînes internes, dont une avec les caméras à la poupe et à la proue.

A chaque escale, le pilote du port concerné monte à bord de façon un peu acrobatique pour guider le paquebot jusqu'au quai, et idem pour le quitter.
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Une fois n'est pas coutume, ce n'est ni sac au dos ni à moto que va se faire ce voyage, mais bien confortablement installé dans la cabine d'un paquebot.
Nous avions initialement réservé une autre croisière qui nous convenait mieux, mais suite à une erreur de l’agence de voyage et à la mauvaise volonté du service commercial,
nous nous sommes rabattus sur une Costa classique. Avec 220 mètres de long, le Costa Neo Romantica est le plus petit de la flotte, on cherchait justement le moins gros possible.
Attention, c’est pas une barque non plus : jusqu’à 1800 passagers (nous étions 1300) et 600 membres d’équipage. Une vraie ville flottante...


Lancé en 1996 et entièrement rénové il y a quelques années (ils ont même rajouté quelques ponts et le plus grand spa des mers), le Neo Romantica propose tout de même une demi-douzaine
de restaurants et bars, des petites piscines, des boutiques... Cependant, beaucoup de services sont payants en supplément et nous avons fait sans.


Notre cabine était impec’, et le personnel de bord absolument parfait ! Un gros changement par rapport à nos hôtels habituels où il faut amener son propre sac de couchage, là il suffit de s'absenter
de la chambre quelques minutes pour la trouver au retour impeccablement rangée et préparée en fonction de l'heure. Douillet et accueillant, heureusement vu qu'on va y passer pas mal de temps.


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