Macao, enfer du jeu, pépées en fourreaux lamés, mauvais garçons du monde entier et fumeries d'opium...

Nous, on a surtout vu des rues bien défoncées, avec des poissons qui séchaient à même le trottoir, un casino flottant qui nous a refusé l’entrée (faute des dits fourreaux lamés), des maisons portugaises aux enseignes chinoises et vice-versa, et une cathédrale St Paul dont il ne reste que la façade en haut d’une volée de marches.

Comme dans le reste de la Chine, les immeubles sont bâtis à l'aide d'échafaudage de bambous, qui servent éventuellement, comme pour celui-ci-contre, à tenir la maison entière !

Une arrière-cour telle qu'il n'en reste peut-être plus guère...

Il se dégageait de Macao une curieuse ambiance presque méditerranéenne. Une influence de l'implantation portugaise ? Peut-être. Pour notre part, nous sommes retournés à Hong-Kong pour rembarquer sur un gros bateau et remonter la rivière des Perles à destination de Canton, 184 kilomètres plus loin.