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Entre deux boutiques d'épées en plastique et de souvenirs pseudo-médiévaux, on trouve quelques créations plus originales.
Fenêtre d'un village traversé après Carcassonne, pas noté le nom, désolé !
Première étape à Carcassonne, dont les remparts très bien préservés ou restaurés sont particulièrement impressionnants, même pour des Avignonnais ! Ci-dessous, la porte Narbonnaise, par où l'on pénètre dans le centre fortifié.
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"Oppidum de l'Age du Fer transformé au Ier siècle avant notre ère en ville romaine, la cité devint au XIe siècle la possession de la puissante vicomté Trencavel qui domine le Bas-Languedoc. Au terme de la croisade contre les Albigeois, la cité, dotée de fortifications nouvelles, devient l'une des places fortes emblématiques du pouvoir royal sur la frontière qui sépare la France et l'Aragon.
Avec le traité des Pyrénées en 1659 qui rattache le Roussillon aux possessions françaises, la cité perd cependant son rôle stratégique, laissant à l'abandon ses ouvrages défensifs. Au XIXe siècle, grâce à l'action des Carcassonnais et du service des Monuments historiques qui confia sa restauration à Eugène Viollet-le-Duc, l'ancienne forteresse a recouvré sa physionomie passée." Extrait de www.carcassonne.culture.fr |
Les ruelles médiévales, piétonnes naturellement, sont purement touristiques, mais plutôt jolies.
Pas mal de monde, en plein été on doit à peine pouvoir s'y déplacer.
Au coeur de la vieille ville, une deuxième rangée de fossés et des remparts sérieux abritent le château des seigneurs de Trencavel (ci-dessus).
Un peu plus loin, la belle basilique St Nazaire et St Celse (ci-dessous). Certains saints de la région ont des noms pas piqués des vers, comme Papoul, Thecle ou Assiscle. |
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