France - Sud-ouest - Juin 2009
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Toulouse















Place des Carmes et le clocher de la Dalbade (Costa). Aquarelle du début du XXème siècle.








































































"No brain" (pas de cervelle) peint sur le carénage, ce motard affiche la couleur ?




































Et après, on nous rabâche que ce sont les deux-roues à moteur qui gênent le passage sur les trottoirs...




































Nougaro, l'enfant de Toulouse, poète et chanteur regretté. Auteur notamment de l'hymne à Toulouse que vous devez être en train d'écouter.



































Poignée de l'hôtel d'Assezat et de Clémence Isaure, 1655.



































L'autel de St Sernin.



































Vitrail ouvert sur la verdure, dans l'église St Pierre des Chartreux.













































































Non, ce n'est pas la femme à barbe, mais une statue par Jean Bauduy, venant de St Sernin, début XVIème. Comme quoi les travelos, c'est pas nouveau.







































































Une gargouille du couvent des Cordeliers. Il y en toute une série au musée des Augustins, ainsi disposées à la verticale, on dirait de monstrueux choristes...




































Cet impressionnant imprécateur de trois mètres de haut a tout du "Paladin spé Vindicte"... comprenne qui jouera ;-P







































Toulouse s'est développée à partir de la ville antique sur une courbe de la Garonne. Capitale du Languedoc et centre artistique de premier plan, enrichie par le commerce du pastel, son parlement rayonnait sur un vaste territoire.
Ci-dessus, rue du Taur, avec l'église du même nom ci-dessous.
La brique est omniprésente, justifiant aisément le surnom de "Ville rose".










Coulissez la barre en bas pour voir le panoramique (6 photos réunies)

Au centre, le Capitole, emblème de la ville et du pouvoir municipal depuis le XIIème siècle.
Il abrite aujourd'hui l'Hôtel de Ville et un théâtre.



Ci-dessus à gauche, cour intérieure du Capitole.
A droite, le musée St Raymond, dernier vestige de l'abbaye de St Sernin, avec la basilique au fond.



A gauche, le Pont St Pierre avec le dôme de la Grave. A droite et ci-dessous, le Pont Neuf.



"La basilique Saint-Sernin est un des édifices emblématiques de Toulouse. C'est un sanctuaire bâti pour abriter les reliques de saint Saturnin évêque de Toulouse, martyrisé en 250. La rue du Taur qui mène de la place du Capitole à la basilique tire d'ailleurs son nom des circonstances du martyre, Saturnin ayant été tiré par un taureau furieux sur ce qui était alors une route sortant de la ville. L'édifice conserve 260 chapiteaux romans et est le symbole de l'architecture romane méridionale. Toulouse recevait alors la visite de nombreux pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, ou venus honorer les reliques de saint Saturnin. Saint-Sernin fut par la suite l'un des plus importants centres de pèlerinage de l'Occident médiéval."
Source : Wikipedia


La basilique Saint-Sernin fait l'objet d'un classement aux monuments historiques depuis 1840, et est patrimoine mondial depuis 1998, au titre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.

Ci-dessus à droite, la porte Diegeville, du XIème siècle.
Ci-dessous, les fresques de la Résurrection et le martyre de St Saturnin.









A gauche, un Christ du XIIème siècle d'une étonnante modernité.
A droite, encore un orgue Cavaillé-Coll, qui a réalisé plus de 500 instruments dans sa carrière !




Le musée des Augustins a été créé en 1793 dans un couvent du XIVème siècle de pur style gothique méridional, doté d'un superbe cloître du XVème.

Il abrite notamment une collection de chapiteaux romans. La merveilleuse petite vierge ci-dessous, Notre Dame de Grasse du XVème siècle, a retrouvé sa beauté et ses couleurs d'origine après avoir été soigneusement restaurée.

Précisons que l'entrée dans ce superbe musée n'est que de trois euros, c'est toujours appréciable.





A droite, magnifique buste d'Augier Ferrier, 1674.
A gauche, d'Ambroise Fredeau en 1657, "Guillaume de Tolose et les démons".
Ci-dessous, le Cauchemar, d'Eugène Thivier, fin XIXème siècle.
Vite, appelez Buffy !
 
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