Restes d'un acqueduc près de Victoria.
Autour de la Fenêtre d'Azur, le sol est couvert de fossiles de coquillages.
La petite église du village de Dwejra, surplombant la Mer Intérieure.
Cet étroit passage relie la crique à la mer. Assez impressionnant sur une petite barque balottée par les
vagues qui semblent vouloir la drosser contre les parois ! Mais les pêcheurs sont très bien rodés, pas de problème.
Côté mer, le pied des falaises laisse deviner, au ras de l'eau, le corail rouge qui les colonise.
La plongée est réputée dans le coin, pour les amateurs...
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Les bus sont assez erratiques à Gozo. Par exemple pour rejoindre le village de San Lawrence, il y en a un par heure...
uniquement le matin ! En plus, la route étant en travaux, il faut finir à pied. On avait prévu le coup, mais pour
les touristes qui descendaient du dernier bus, celui qu'on a pris pour rentrer en ville, il fallait avoir prévu de bonnes
chaussures pour revenir. Heureusement, rien n'est à plus de deux ou trois heures de marche de Victoria.
En descendant le chemin jusqu'aux falaises, on découvre un petit bout de village près d'une étrange crique intérieure.
Mais ce qui attire les visiteurs, c'est surtout cette grande arche naturelle, la fenêtre d'azur, un site également prisé des
plongeurs pour son équivalent sous-marin.
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Un peu pompeusement nommé la "Mer Intérieure", cette charmante petite crique est reliée au large par un couloir
naturel creusé dans la falaise. Il permet tout juste le passage des barques des pêcheurs qui peuvent ainsi mouiller
parfaitement au calme, et aller pêcher - ou promener les touristes de nos jours - au large.
Nous nous sommes sans regret laissés convaincre de faire une petite excursion en barque pour aller goûter
au vent du large, voir la Azure Window sous un autre angle, et les falaises aux formes biscornues.
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Ce gros rocher pentu qui semble tombé de la falaise a été très convoité. Il est en effet l'unique endroit où
pousse une plante qu'on prenait pour un champignon aux innombrables propriétés magiques, aphrodisiaques,
médicinales, etc. Il était si prisé que toute une contrebande s'était mise en place, et les chevaliers s'en étaient assuré
l'exclusivité en construisant une tour de guet juste en face (ci-dessous à droite), en limant le pied du roc pour en rendre l'accès
encore plus difficile, le réservant au seul ramasseur officiel... et en écoulant le précieux végétal au prix d'un
joyau aux têtes couronnées d'Europe. Tout ça jusqu'à ce qu'un trouble-fête démontre que le fungus en question
n'était guère plus qu'une mauvaise herbe sans pouvoir, et tout ce business s'est écroulé.
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