Côte sud
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Camping
Cette fois-ci le camping était d'une grande chaîne, avec supérette, pelouses, piscine, cours de tennis... En pratique, on l'a trouvé aussi sale que les autres au niveau des emplacements pour tentes, avec des mégots partout, même pas une chaise de jardin, beaucoup de promiscuité... Mais il faut dire que nous ne sommes pas habitués au camping et que notre seule référence est celle de la Nouvelle-Zélande où à une exception près tous les campings étaient excellents.
























































Moto
Attention aux villes du Portugal ! On n'a pas trouvé de problème particulier à la conduite, mais c'est extrêmement mal indiqué, il n'y a pour ainsi dire jamais de voie de contournement ni de dégagement. Les rues s'enchevêtrent et on s'y perd systématiquement. Il nous a semblé impossible de simplement traverser une ville, à chaque fois on s'est retrouvé entraîné en plein centre, avec bien du mal pour retrouver notre route.


     Nous voilà tout au sud à Villa Real de San Antonio, sur les rives de l'Atlantique, à quelques kilomètres seulement de la frontière espagnole. On voit qu'on arrive dans une zone touristique, les prix explosent ! Mer d'un bleu intense, temps superbe bien que presque frais, pas trop chaud en tout cas.





     On suit la côte vers l'ouest et Tavira, où les façades des maisons sont souvent ornées de carrelage style salle de bain des années 70.





     Etape du soir à Olhão, rien de spécial si ce n'est une pittoresque halle aux poissons et un superbe coucher de soleil.



     Passage obligé par Faro, dont l'ambiance de palmiers et charettes à cheval nous a rappelé, pas si bizarrement que ça après tout, Goa en Inde. La ville elle-même, capitale de l'Algarve, est un labyrinthe dont on mettra un temps fou à s'extraire. Pour se consoler, on passe devant une belle maison ouvragée, ci-dessous.


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