"A la grande table du monde,
Istanbul est assise entre deux chaises.
Ce n'est pas toujours confortable,
mais au moins elle a accès à tous les plats."

Frédéric

Une semaine, ce n'était vraiment pas assez
pour épuiser les charmes d'Istanbul qui
nous a beaucoup plu. Dans nos voyages,
on a rarement visité une ville possédant
un patrimoine historique, architectural,
religieux, culturel aussi riche et varié.
(Bon d'accord, on n'est pas encore allé à Rome !)

Pour qui aime la ville, quel plaisir de
se balader dans ces rues animées, où l'on
découvre sans cesse des merveilles. Un bon point
aussi, en espérant que ça dure, si les commerçants
vous alpaguent et incitent à venir voir leurs
marchandises ou menus à tout bout de champ,
ils savent ne pas insister et acceptent
les refus de bonne grâce.
Nous y étions donc en février 2007,
avec la chance d'avoir eu dans
l'ensemble beau temps. En cette basse
saison touristique, nous avons obtenu
une grande chambre très agréable et idéalement
située derrière Sainte Sophie pour 40 Euros.

La vie n'est pas spécialement bon marché,
et si l'artisanat est varié, les (très) belles
choses restent chères. Bien moins cependant
qu'en France, par exemple pour les tapis,
céramiques, lampes colorées...

Pour un repas dans un restaurant simple de
la vieille ville, compter une dizaine d'euros
par personne. Une assiette de borek
(friands à la viande ou au fromage, servis
avec du thé) revient dans les quartiers populaires
à un ou deux euros, et on se régale.

Le ticket de tramway ou de métro est à 1,10 Euros,
les entrées de musée atteignent facilement
5 ou 10 euros, avec supplément pour l'appareil photo.
 
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