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Le très moderne et confortable tramway,
à quand même un euro le ticket,
traverse le pont de Galata pour arriver
dans l'Istanbul moderne, autrement dit
Beyoglu. A Tünel, on prend un funiculaire
basé sur une ancienne rame de métro
parisien pour gagner le haut de l'une
des sept collines de la ville.
La vue en est impressionnante,
on croirait que des nuées de mouettes
sont posées sur les toits, quand
il s'agit en fait de milliers de paraboles !
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Un autre tramway est disponible en haut,
un seul wagon minuscule qui fait l'aller-retour,
beaucoup plus ancien et pittoresque.
Il remonte une grande avenue bordée de
boutiques de luxe et de beaux immeubles
pour arriver à Taksim, grande place moderne.
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Une des particularités de Istiklâl
Caddesi, un peu les Champs Elysées
stambouliotes, est d'être ponctuée de ces
"cités" (Roumélie à gauche, Péra à droite),
des passages couverts à l'architecture
inspirée de celle de Paris. Ce sont
aujourd'hui des galeries commerçantes
sans grand charme.
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Cette maison aux airs de palais
vénitien cache l'église Saint-Antoine
de Padoue.
Au premier plan, une pub en néon pour
un "bar à narguilé", pas d'alcool a priori
mais un grand choix de tabacs parfumés
à fumer dans des pipes à eau de toutes
tailles, comme au Moyen-Orient.
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