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Sans le rechercher particulièrement, on a vu lors de ce voyage de très nombreux animaux plus ou moins sauvages. Ces derniers étant très élusifs,
on a cependant rarement eu le temps de les photographier. A défaut voici les plus courants, à commencer bien entendu par l'emblème agricole du pays,
le mouton de différentes races...
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Comme on a dit au cours du site, les moutons sont de plus en plus supplantés par les vaches et les boeufs, du moins c'est l'impression qu'on a eue.
Des grosses laitières à boucles d'oreilles aux jeunes boeufs énervés qui nous suivaient le long des pâtures, ce sont les mêmes que partout dans le monde, on ne va
donc pas s'y attarder.
Ci-dessous, un groupe de chevaux semi-sauvages, sous la surveillance attentive d'un bel étalon noir pas commode. On était bien dissuadés d'approcher
des poulains, mais il ferait mieux de les faire se balader ailleurs que dans le virage aveugle d'une piste glissante !
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Biquettes, béliers, boucs, genre de mouflons ou de quasi-chamois, on ne sait pas toujours exactement ce que c'est, mais divers
ovins sont aussi élevés, en nombre plus restreint.
Dans le sud, on trouve aussi d'immense élevages de biches et de cerfs rouges, dont la viande est excellente... mais il y a quelque
chose de pas naturel à voir ces animaux si gracieux parqués comme le bétail qu'ils sont là-bas. Signalons aussi les exploitations
d'autruches, alpacas, wallabies, chats et lapins angoras tondus pour leur "laine"...
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Ci-dessus à Milford Sound, un bébé otarie se repose sur des rochers. Ci-dessous, proche d'Oamaru,
un adulte semble autant s'amuser que pêcher. Particulièrement décimées entre 1792 et 1820, où des centaines de milliers
d'animaux ont été massacrés, les colonies peinent toujours à se reconstituer.
Non loin de ce phoque, nous avons aperçu des pingouins, des dauphins... vous avez pu les voir
sur les pages de Dunedin et d'Akaroa.
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Liliane a déjà tendance à ramasser des coquillages dès qu'il y a une étendue de sable, alors sur les plages kiwies, on ne la revoit plus !
Couleurs subtiles, formes délicates... et même des petits bouts de paua, ces coquilles nacrées dont les Maoris font de beaux bijoux.
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Les opossums continuent d'être une véritable plaie. Introduits pour leur fourrure, ils se sont répandus à une vitesse effarante
dans la nature, à défaut du moindre prédateur. Même les faucons ne s'embêtent plus à les chasser, il y en a tant d'écrasés sur les routes
(ils sont surnommés "les petits ralentisseurs de Nouvelle-Zélande") que c'est un buffet à volonté pour eux... au risque de se faire écraser eux-mêmes !
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