Toujours les poteries et céramiques cassées en décoration, incrustées dans les murs en pisé. Les lanternes aussi ne servent généralement plus que de décor, les ampoules étant moins jolies mais plus pratiques pour l'éclairage.




















































































Djebel Siroua


L'auberge Berbère d'Ouriz, à côté d'Agdz sur la route de Zagora. Pas trop cher à condition de négocier ferme, plutôt sympa, et l'occasion de loger dans un habitat purement traditionnel... mais franchement rustique (à part bien sûr l'inévitable parabole, qu'on trouve jusque sur les plus simples cahutes, parfois même sur des tentes dans le désert !). Dessous, la terrasse face à la vallée du Drâa et la bergerie à l'arrière de l'auberge.



Agdz (prononcez "Agdès") est un carrefour de ravitaillement sans grand intérêt, mais propre et plutôt accueillante, avant de se lancer plein ouest à travers le djebel Siroua. La route commence assez mal, le bitume mal entretenu disparaît par endroits sous la terre et les cailloux, ça secoue pas mal... et Liliane est malade. Heureusement, après une centaine de kilomètres, elle devient une nationale (la route, pas Liliane) et s'améliore sensiblement.




Toujours ce chaos de roches de couleurs contrastées, avec parfois accroché à la montagne un village minier ou d'impressionantes cimenteries. Ce djebel est un massif volcanique culminant à 3305 mètres dans l'Anti Atlas. On roule un moment sur un vaste plateau avec quelques villages. Et parfois, comme ci-dessus, un petit café, tout seul perdu au milieu de rien...



En approchant de Taroudannt, outre un peu plus de troupeaux, on voit dans les vallées des cultures de safran, olives et plantes arômatiques, ainsi que des arganiers (ci-dessous). Ces arbes ne poussent que dans cette région, ce sont eux qui donnent l'huile d'argan si prisée en cosmétique et en cuisine fine.



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