Maroc 2010

Conclusion

De palais en ksars, de souks en pistes, de dunes en plages, de montagnes en déserts, de gentillesse en mercantilisme, d'isolement en foules touristiques, le Maroc ne nous a peut-être pas autant séduits que d'autres, mais nous a offert de belles découvertes, de magnifiques paysages et d'inoubliables moments de moto.

Le mois de septembre nous a semblé un compromis judicieux car les prix baissent et le temps est plus frais, dommage qu'on ait eu de la pluie et de la grisaille dans le sud. Au niveau des prix, attention, ce n'est pas si bon marché qu'on le croirait, tout augmente et il faut faire des sacrifices sur la gamme des hôtels et des restos pour rester dans un budget routard. D'ailleurs le guide du Routard s'attarde surtout sur des riads et des hébergements de luxe vraiment pas bon marché, c'est assez frustrant ! De façon générale, dans la mesure du possible, essayez de ne pas partir trop cheap. Sans compter la tentation permanente du superbe artisanat. Bon, la bécane offre en consolation de ne pas avoir assez de place pour craquer (sauf qu'il est très facile de se faire expédier ses achats, mais chut !).

Le français pratiqué partout, l'héritage de la présence française (quand le Maroc était le département 93 !) et l'étroite collaboration qui existe toujours aujourd'hui (boîtes aux lettres de La Poste, uniformes des policiers, boulangeries, bus...) facilitent le voyage.

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